Yamaha, on les connaît pour les R1, les MT et les chants stridents des GP. Mais sous le logo aux trois diapasons, il y a aussi des moteurs de bateaux, des joysticks de manœuvre et même... un morceau du noble Volvo XC90. Oui, ce SUV scandinave a eu droit à un cœur signé Yamaha. Et c’est pas un poisson d’avril, c’est un clin d’œil d’ingénierie mondialisée.
De la mer à la route, en passant par les paddocks, Yamaha est un faiseur de moteurs compulsif. Et quand ils se penchent sur un V8 pour Volvo, ou sur un V6 marin pour une console open à la mode, ils y mettent la même rigueur (et un peu de folie douce japonaise).
L’exemple le plus savoureux ? Le V8 4.4 litres Yamaha qui a propulsé les versions haut de gamme du XC90, à une époque où Volvo voulait du luxe mais n’avait pas encore les moyens d’en fabriquer. Résultat ? Un SUV suédois avec un moteur japonais, le tout badgé ‘Yamaha Performance’. Un mix scandinavo-nippon qui faisait bien plus que rouler proprement.
Yamaha Motor Company, c’est un monstre polymorphe. Ils construisent des moteurs marins comme le XTO 425 (testé et validé par nos soins), des moteurs de course pour Formule Nippon, des scooters urbains, et même des moteurs de voiture en sous-traitance. Dans les années 2000, ils ont été appelés à la rescousse par Volvo pour développer un V8 atmosphérique destiné à donner du coffre au XC90. Bloc coulé au Japon, assemblé aux USA, installé en Suède.
Mais ce n’est pas tout. Yamaha a aussi bossé pour Ford (la Taurus SHO), pour Toyota (la 2000GT) et même pour Lexus (le V10 de la LFA). Et bien sûr, côté nautisme, ils sont les rois des hors-bords 4-temps avec joystick assisté, démarrage sans clé et affichages numériques plus clairs que ton iPhone.
Ce qui relie tout ça ? L’obsession du moteur bien né. Yamaha n’est pas juste une marque de moto. C’est une fabrique à émotions mécaniques, qu’elles soient aquatiques, asphaltées ou embouteillées.
Ce qui distingue Yamaha, c’est qu’ils ne cherchent pas à coller leur logo partout. Ils préfèrent que ce soit leurs moteurs qui parlent. Des motos, des bateaux, des voitures, parfois même des générateurs ou des quads. Peu importe l’enveloppe, ce qui compte, c’est ce qui bat sous le capot, la selle ou la coque.
T’as la ref de ce sous-titre ?Yamaha, c’est l’ombre derrière les machines. Pas toujours visible, mais souvent indispensable. Et si demain on vous dit que votre voiture hybride, votre jet-ski et votre moto ont tous été conçus par la même boîte japonaise… souriez. C’est peut-être Yamaha qui vous fait avancer, même quand vous ne vous en doutez pas.
Yamaha, on les connaît pour les R1, les MT et les chants stridents des GP. Mais sous le logo aux trois diapasons, il y a aussi des moteurs de bateaux, des joysticks de manœuvre et même... un morceau du noble Volvo XC90. Oui, ce SUV scandinave a eu droit à un cœur signé Yamaha. Et c’est pas un poisson d’avril, c’est un clin d’œil d’ingénierie mondialisée.
De la mer à la route, en passant par les paddocks, Yamaha est un faiseur de moteurs compulsif. Et quand ils se penchent sur un V8 pour Volvo, ou sur un V6 marin pour une console open à la mode, ils y mettent la même rigueur (et un peu de folie douce japonaise).
L’exemple le plus savoureux ? Le V8 4.4 litres Yamaha qui a propulsé les versions haut de gamme du XC90, à une époque où Volvo voulait du luxe mais n’avait pas encore les moyens d’en fabriquer. Résultat ? Un SUV suédois avec un moteur japonais, le tout badgé ‘Yamaha Performance’. Un mix scandinavo-nippon qui faisait bien plus que rouler proprement.
Yamaha Motor Company, c’est un monstre polymorphe. Ils construisent des moteurs marins comme le XTO 425 (testé et validé par nos soins), des moteurs de course pour Formule Nippon, des scooters urbains, et même des moteurs de voiture en sous-traitance. Dans les années 2000, ils ont été appelés à la rescousse par Volvo pour développer un V8 atmosphérique destiné à donner du coffre au XC90. Bloc coulé au Japon, assemblé aux USA, installé en Suède.
Mais ce n’est pas tout. Yamaha a aussi bossé pour Ford (la Taurus SHO), pour Toyota (la 2000GT) et même pour Lexus (le V10 de la LFA). Et bien sûr, côté nautisme, ils sont les rois des hors-bords 4-temps avec joystick assisté, démarrage sans clé et affichages numériques plus clairs que ton iPhone.
Ce qui relie tout ça ? L’obsession du moteur bien né. Yamaha n’est pas juste une marque de moto. C’est une fabrique à émotions mécaniques, qu’elles soient aquatiques, asphaltées ou embouteillées.
T’as la ref de ce sous-titre ?Yamaha, c’est l’ombre derrière les machines. Pas toujours visible, mais souvent indispensable. Et si demain on vous dit que votre voiture hybride, votre jet-ski et votre moto ont tous été conçus par la même boîte japonaise… souriez. C’est peut-être Yamaha qui vous fait avancer, même quand vous ne vous en doutez pas.
