Windham débarque sur le circuit pro en 1994, encore ado, le sourire tranquille d’un gamin du Sud.
Dès ses premières manches, il impressionne : holeshot, trajectoires fluides, une légèreté hallucinante sur les bosses.
Son style est tellement pur que les photographes de Racer X parlent de lui comme “le mec que tu veux regarder, même quand il est troisième”.
À la fin des années 90, il devient l’espoir américain.
On le compare à McGrath, on le voit futur champion, et il enchaîne les podiums pour Yamaha puis Honda.
À 21 ans, il a déjà tout : la vitesse, la reconnaissance, la gueule, et ce flow qui fait tomber les tribunes.
Mais derrière ce style céleste, un problème se cache déjà : Windham doute.
Là où d’autres s’endorment sur la rage, lui pense, réfléchit, se questionne.
Et ça, en Supercross, c’est presque une malédiction.











