Ferrari, Alfa Romeo, Porsche… toutes ont voulu briller sur la Targa. Pas pour les trophées. Pour l’honneur. Pour l’histoire. Pour l’intensité.
Imagine une course de 72 km à fond sur des routes de montagne, sans protections, avec des bolides de Grand Prix qui croisent des gamins en Vespa, des poules, et des virages piégeux comme une promesse de mafioso. C’était la Targa Florio. Et c’était incroyable.
La Targa Florio, c’est une folie qui a duré 71 ans. Une course née du cerveau d’un aristocrate sicilien en 1906, où les voitures dansaient entre les falaises, les villages et la ferveur. Une époque où courir, c’était défier les lois de la gravité, du bon sens, et parfois de la survie.
Ferrari, Alfa Romeo, Porsche… toutes ont voulu briller sur la Targa. Pas pour les trophées. Pour l’honneur. Pour l’histoire. Pour l’intensité.
La Targa Florio a été créée par Vincenzo Florio, riche héritier d’une famille de vignerons, amateur de vitesse et de virées dangereuses. Il a imaginé cette épreuve en boucle dans les montagnes des Madonies, en Sicile. Résultat : des routes sinueuses, des ponts instables, des enchaînements de virages serrés comme des spaghettis cuits al dente.
Des années 1920 aux années 1970, la course attire le gratin : Fangio, Moss, Nuvolari, Ickx, Gendebien… tous viennent s’y casser les dents. Ou les suspensions. Les voitures y volent plus qu’elles ne roulent. Et le public ? Il s’installe à un mètre de la trajectoire, sur les murets, les toits, les talus. L’ambiance est électrique, folklorique, presque religieuse.
Porsche y gagne tant de fois qu’ils appelleront leur toit amovible 'Targa'. C’est dire le poids symbolique. Mais en 1977, après un dernier accident, la course est déclarée trop dangereuse. Clap de fin. Le mythe reste. Les routes aussi. Et les souvenirs collés à l’asphalte chaud de Sicile.
La Targa, c’était de la course, mais c’était aussi du théâtre. Une pièce sicilienne où la tension, le décor, les acteurs et le public fusionnaient. Loin des circuits stériles, ici on sentait la roche, l’huile, la clope froide et les cris. Une immersion totale dans une autre idée de la compétition. Une course qui transpirait l’Italie, la débrouille, la bravoure. Et le panache.
Aujourd’hui encore, rouler sur les traces de la Targa, c’est un pèlerinage. Pour les passionnés, c’est une cathédrale en virage. Un circuit invisible mais omniprésent. La Targa Florio, ce n’était pas une course. C’était une déclaration d’amour à la folie mécanique. Et ça, Brooap respecte.
Imagine une course de 72 km à fond sur des routes de montagne, sans protections, avec des bolides de Grand Prix qui croisent des gamins en Vespa, des poules, et des virages piégeux comme une promesse de mafioso. C’était la Targa Florio. Et c’était incroyable.
La Targa Florio, c’est une folie qui a duré 71 ans. Une course née du cerveau d’un aristocrate sicilien en 1906, où les voitures dansaient entre les falaises, les villages et la ferveur. Une époque où courir, c’était défier les lois de la gravité, du bon sens, et parfois de la survie.
Ferrari, Alfa Romeo, Porsche… toutes ont voulu briller sur la Targa. Pas pour les trophées. Pour l’honneur. Pour l’histoire. Pour l’intensité.
La Targa Florio a été créée par Vincenzo Florio, riche héritier d’une famille de vignerons, amateur de vitesse et de virées dangereuses. Il a imaginé cette épreuve en boucle dans les montagnes des Madonies, en Sicile. Résultat : des routes sinueuses, des ponts instables, des enchaînements de virages serrés comme des spaghettis cuits al dente.
Des années 1920 aux années 1970, la course attire le gratin : Fangio, Moss, Nuvolari, Ickx, Gendebien… tous viennent s’y casser les dents. Ou les suspensions. Les voitures y volent plus qu’elles ne roulent. Et le public ? Il s’installe à un mètre de la trajectoire, sur les murets, les toits, les talus. L’ambiance est électrique, folklorique, presque religieuse.
Porsche y gagne tant de fois qu’ils appelleront leur toit amovible 'Targa'. C’est dire le poids symbolique. Mais en 1977, après un dernier accident, la course est déclarée trop dangereuse. Clap de fin. Le mythe reste. Les routes aussi. Et les souvenirs collés à l’asphalte chaud de Sicile.
Aujourd’hui encore, rouler sur les traces de la Targa, c’est un pèlerinage. Pour les passionnés, c’est une cathédrale en virage. Un circuit invisible mais omniprésent. La Targa Florio, ce n’était pas une course. C’était une déclaration d’amour à la folie mécanique. Et ça, Brooap respecte.