Entre les pixels granuleux et les circuits fictifs devenus mythiques, Gran Turismo 2 faisait tourner des têtes et cramer des manettes. Ah, Trial Mountain...
Sorti en 1999 sur PlayStation 1, Gran Turismo 2 n'était pas juste une suite : c’était une révolution roulante. Deux CD, une encyclopédie de bagnoles, et une ambiance aussi addictive qu’un plein de super à 1 franc le litre. Avant les simulateurs PC, avant les volants à retour de force, GT2 t’apprenait le freinage dégressif… avec une manette.
600 voitures, de la Citroën Xantia à la Skyline GT-R R34, et un gameplay qui te punissait si tu prenais un virage comme dans Ridge Racer. C’était le jeu qui t’apprenait que conduire, c’est pas juste appuyer sur X. C’était Gran Turismo 2, et c’était magistral.
Entre les pixels granuleux et les circuits fictifs devenus mythiques, Gran Turismo 2 faisait tourner des têtes et cramer des manettes. Ah, Trial Mountain...
Gran Turismo 2, c’était un laboratoire roulant. On y découvrait des marques obscures (TVR, Tommykaira, Spoon), des modèles jamais vus chez Norauto, et une physique qui, à l’époque, passait pour du sérieux. Le jeu proposait un vrai mode carrière avec des licences à décrocher, et t’apprenait à freiner avant de tourner, pas pendant. Un choc culturel pour tous les habitués des virages au frein à main. Le CD rouge, dédié à l’arcade, permettait de se défouler, mais le CD bleu, le vrai, t’ouvrait la voie du respect. Chaque victoire était dure, chaque dérapage mal géré était puni. Une école de rigueur qui a formé des générations de pilotes virtuels.
GT2, c’était aussi un trip encyclopédique. Chaque modèle avait sa fiche, sa fiche technique, son pays d’origine, et parfois une petite ligne historique. Pour beaucoup, c’est là qu’on a appris ce qu’était une Lancia Delta HF Integrale, ou pourquoi les RX-7 ont deux rotors mais pas de pistons. C’était Wikipédia sur jantes, avec des bruitages de boîte manuelle mal huilée. Et même si la modélisation faisait parfois passer les voitures pour des briques sur roulettes, le cœur y était. Et le kiff aussi.
Gran Turismo 2 n’était pas juste un jeu : c’était une éducation, un rêve de gosse, un simulateur de passion. Il a marqué à jamais ceux qui ont découvert le VTEC dans leur chambre et appris à prononcer "Mitsubishi Lancer Evolution VI GSR" sans bégayer. Même aujourd’hui, avec les graphismes 4K et les volants à 600 balles, le souvenir de GT2 reste imbattable. Parce que c’était le premier. Et qu’on n’oublie jamais son premier amour. Surtout s’il avait 600 voitures à débloquer.
Sorti en 1999 sur PlayStation 1, Gran Turismo 2 n'était pas juste une suite : c’était une révolution roulante. Deux CD, une encyclopédie de bagnoles, et une ambiance aussi addictive qu’un plein de super à 1 franc le litre. Avant les simulateurs PC, avant les volants à retour de force, GT2 t’apprenait le freinage dégressif… avec une manette.
600 voitures, de la Citroën Xantia à la Skyline GT-R R34, et un gameplay qui te punissait si tu prenais un virage comme dans Ridge Racer. C’était le jeu qui t’apprenait que conduire, c’est pas juste appuyer sur X. C’était Gran Turismo 2, et c’était magistral.
Entre les pixels granuleux et les circuits fictifs devenus mythiques, Gran Turismo 2 faisait tourner des têtes et cramer des manettes. Ah, Trial Mountain...
Gran Turismo 2, c’était un laboratoire roulant. On y découvrait des marques obscures (TVR, Tommykaira, Spoon), des modèles jamais vus chez Norauto, et une physique qui, à l’époque, passait pour du sérieux. Le jeu proposait un vrai mode carrière avec des licences à décrocher, et t’apprenait à freiner avant de tourner, pas pendant. Un choc culturel pour tous les habitués des virages au frein à main. Le CD rouge, dédié à l’arcade, permettait de se défouler, mais le CD bleu, le vrai, t’ouvrait la voie du respect. Chaque victoire était dure, chaque dérapage mal géré était puni. Une école de rigueur qui a formé des générations de pilotes virtuels.
Gran Turismo 2 n’était pas juste un jeu : c’était une éducation, un rêve de gosse, un simulateur de passion. Il a marqué à jamais ceux qui ont découvert le VTEC dans leur chambre et appris à prononcer "Mitsubishi Lancer Evolution VI GSR" sans bégayer. Même aujourd’hui, avec les graphismes 4K et les volants à 600 balles, le souvenir de GT2 reste imbattable. Parce que c’était le premier. Et qu’on n’oublie jamais son premier amour. Surtout s’il avait 600 voitures à débloquer.